La schizophrénie est une maladie psychiatrique se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui aboutit à des comportements et des discours bizarres, parfois délirants. Elle se manifeste principalement, au départ, par un sentiment d’étrangeté, d’implication extrême, voire un sentiment de persécution. Un délire se construit alors, qualifié de « paranoïde ».
Si ce n’est pas là la description d’un musulman, ça y ressemble fort !
C’est similaire à ce qu’en dit le psychologue Danois Nicolai Sennels :
L’enseignement de l’Islam conduit le musulman à développer une double personnalité car il vit dans deux mondes aux logiques et valeurs totalement opposées et qui engendre des comportements paranoïaques : le monde du mécréant qui s’oppose à celui du musulman. Il vit en permanence en référence à ce monde ennemi qu’il faut subvertir et tromper pour pouvoir l’éliminer.
D’autant qu’il voit très bien que le monde honni des mécréants (koufars) est très supérieur au modèle qu’il suit sous la commande exprès de (son) Dieu, que ce modèle islamique est en échec partout où existe « l’autre ». Il n’a donc de cesse de vouloir détruire ce modèle qui injurie le sien, qui par effet miroir lui renvoie son image de barbare, il n’a de cesse de vouloir le faire disparaître et de s’accaparer ses richesses, lui donnant l’illusion de sa propre gloire et de sa réussite. Il en ressent de la haine, un sentiment profond d’injustice, de la jalousie, le sentiment d’être méprisé alors qu’on lui répète – cinq fois par jour – qu’il est l’élu de Dieu et le sommet de la création.
Il ne pourra s’épanouir, il ne pourra exister que par notre mort !
C’était déjà cela aux premiers jours de l’Islam. C’est cela que Mahomet a fixé dans ses textes (Coran) et dans ses comportements (Hadiths) : la haine et la revanche du bédouin.
(source : un commentaire de l'article précédant de dreuz.info)
Musulmans et Occidentaux : les différences psychologiques
http://www.postedeveille.ca/2010/06/musulmans-et-occidentaux-les-diff%C3%A9rences-psychologiques.html
Nicolai Sennels est un psychologue danois qui a travaillé avec des criminels musulmans dans des institutions gérées par les autorités de Copenhague. Il est l'auteur du livre « Parmi les criminels musulmans. L'expérience d’un psychologue à Copenhague » paru en 2009.
Dans son article présenté par Dr Nancy Kobrin, psychanalyste américaine, il explique la psychologie des musulmans dans des termes que les Occidentaux peuvent comprendre.
« Un mouvement populaire composé de citoyens ordinaires se dressant contre la culture immature et psychologiquement malsaine de l’islam, c’est la voie et c’est l’objectif. Rien n’est plus important.» -- N. Sennels
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Introduction par Dr Nancy Kobrin
La première fois que j'ai lu quelque chose concernant le travail de Nicolai Sennels sur les thérapies qu'il avait conduites avec des criminels musulmans au Danemark, j'ai su que ce serait un événement. J'espère que vous, lecteurs, allez écouter avec attention ce qu'il a à vous dire.
J'ai moi aussi eu l'occasion de mener en prison des interviews de détenus musulmans. Il ne s'agissait pas d'interrogatoires. Minneapolis abrite la plus importante diaspora de musulmans somalis après Mogadiscio, et la prison du comté était surpeuplée. J'essayais de décider si je voulais élaborer un projet de recherche. Pressée par le temps et chargée de trop d'autres responsabilités, sans parler d'une menace de mort pendant l'une des interviews, j'ai décidé de ne pas aller plus loin.
Comme Sennels, je suis sortie de cette expérience en ayant perçu de manière similaire qu'en Occident les forces de l'ordre et le grand public ne comprenaient pas pourquoi il y avait tant de criminalité dans la population musulmane. Et pourquoi il y a ce problème de détenus qui se convertissent à l'islam en prison et qui se radicalisent au contact d'autres musulmans criminels pendant leur incarcération.
L’islam est la religion parfaite pour fournir des justifications à ceux qui se sentent attaqués et pour maintenir le fantasme de l’éternelle « victime ». L’islam est de plus « supérieur » au christianisme puisqu'il fut le dernier à s'approprier les révélations du Sinaï et du Nouveau Testament. Quel parfait réceptacle pour projeter de la haine. L’islam incite à la haine des juifs et au djihad, il les autorise et les encourage. C’est parfait pour une personnalité fragile qui a besoin de haïr et besoin d’avoir un ennemi. Il y a des milliards de personnes qui partagent ces sentiments et ce profil. En tant que religion des laissés pour compte, l’islam est très attirant pour les masses, ce que même Eric Hoffer, l’auteur de True Believer, avait noté en 1951. On ne devrait pas être surpris de voir que ses effectifs vont en augmentant. Si quelqu’un a à se plaindre de quelque chose, l’islam s’en occupera.
Sennels décrit habilement les problèmes essentiels qui font que les musulmans ne peuvent pas s'intégrer à la culture occidentale. Ce qu'il ne dit pas, je vais le dire. Nous sommes en face de rien moins qu'une paranoïa. Sennels insiste sur le fait que l'Occident doit tracer des frontières parce qu'autrement ils vous tueront. Cette sorte de rage est un comportement malveillant limite, comme chez les tueurs en série. Nous devons arriver à comprendre les observations politiquement incorrectes de Sennels pour parvenir à relier entre eux les points relatifs à la criminalité des musulmans, même si c'est dur.
Les enfants heureux et bien adaptés ne deviennent pas des bombes humaines ni des criminels. Choisissons de savoir ce à quoi nous avons affaire au lieu de nous cacher la tête dans le sable par terreur. Faisons face au défi comme l'a fait Sennels. Si les Suédois avaient du courage intellectuel, Nicolai Sennels, le Danois, devrait recevoir le prix Nobel de la paix pour s'être dressé et avoir proclamé que « l'empereur est nu ». Mais, encore une fois, c'est un conte danois et les Suédois n'ont que les drames d'Ingmar Bergman. Faut-il en dire plus ?
* Le Dr Nancy Kobrin est psychanalyste, et a une spécialisation clinique en traumatismes. Son doctorat porte sur les langues romanes et sémitiques, avec un intérêt particulier pour l'aljamia, du vieil espagnol en écriture arabe. Elle a écrit un essai en deux volumes sur Ahadith Musa. Elle a commencé à étudier les auteurs d'attaques terroristes au début des années 1980, lors des attaques par camions piégés au Liban. Vivant au Minnesota depuis de nombreuses années, on lui a demandé d'enseigner l'islam radical aux adjoints du shérif du comté d'Hennepin. C'est une experte de la diaspora somalienne du Minnesota et elle est diplômée du programme Human Terrain System, à Leavenworth, au Kansas. Elle a été retenue pour aller dans la province de Helmand. Son nouveau livre est The Banality of Suicide Terrorism: The Naked Truth About the Psychology of Islamic Suicide Bombing. (La banalité des attentats terroristes suicides : la vérité nue sur la psychologie des attentats suicides islamiques)
Musulmans et Occidentaux : Les différences psychologiques,
27 février 2008. Un mercredi froid et venteux (pour un cycliste comme moi), j'ai pris une grande inspiration, j'ai saisi le micro et j'ai fait quelque chose qui a changé ma vie. Devant le bureau de l'adjoint au maire de Copenhague pour l'intégration et les services sociaux étaient rassemblés plusieurs journalistes, un fidèle musicien musulman du célèbre groupe Outlandish de MTV, des dizaines d'imams et de porte-paroles musulmans et quelque deux cents travailleurs sociaux d'origine danoise ou musulmane.
J'ai commencé à dire ce que tout le monde savait déjà mais que personne ne voulait ou n'osait dire : à savoir que ceux que l'on désigne sous les appellations de criminels étrangers, d'extrémistes religieux ou d'apprentis terroristes et qui sont à l'origine de sociétés parallèles criminelles (c'était le thème de la conférence « Diversité et sécurité dans la ville ») sont tous des musulmans.
J'ai expliqué qu'il fallait cesser de parler de « criminels étrangers » et se mettre à user d'un terme plus précis : « criminels musulmans ». En tant que psychologue ayant eu affaire à plus d'une centaine de patients musulmans, je leur ai dit que les politiciens et les travailleurs sociaux doivent comprendre le contexte culturel et religieux des criminels étrangers. Au moins si on veut pouvoir mettre sur pied des plans un peu efficaces et ciblés pour calmer l'agitation sociale, les mouvements religieux antidémocratiques et les forces antisociales et violentes qui parcourent les étrangers.
J'ai été vivement critiqué de toutes parts et personne ne m'a soutenu !
En fait, je tentais de mettre fin à la prétendue stigmatisation de tous les immigrés non musulmans en mettant l'accent sur le seul groupe responsable de tous les problèmes. Comme pour les soldats au front, où la plupart sont tués lors de la première attaque, beaucoup de ceux qui s'en sont pris au politiquement correct ont souffert de conséquences sociales ou professionnelles négatives. Et je n'ai pas fait exception. L'adjoint aux services sociaux de la mairie a été clair : soit je cessais d'utiliser des expressions stigmatisantes, soit je me trouvais un autre emploi. En fait, je tentais de mettre fin à la prétendue stigmatisation de tous les immigrés non musulmans en mettant l'accent sur le seul groupe responsable de tous les problèmes. Mais on ne peut pas lutter contre la mairie. Nos plus grands journaux et programmes d'information à la radio se sont saisis de l'affaire et le maire a été vivement critiqué par les experts médiatiques de la liberté d'expression et par la blogosphère danoise. Pendant un mois environ, il ne s'est pas passé un jour sans que mon nom soit cité dans un ou plusieurs journaux, et les combattants de la liberté d'expression sont revenus à la charge. Je n'étais plus un psychologue anonyme. Mon nom était connu de tous les lecteurs de journaux au Danemark et ce sont tout particulièrement les blogs critiquant l'islam sur Internet qui m'ont mis sous la lumière des projecteurs.
...on a vraiment besoin d'une discussion sérieuse sur les liens entre la culture musulmane et les comportements criminels et antisociaux. Au lieu de me taire, j'ai décidé d'écrire un livre sur mon expérience avec les musulmans, en me fondant sur des centaines de séances de thérapie. Tout le cirque qu'on avait fait autour de moi avait déjà montré à quel point il était nécessaire de briser les tabous relatifs aux musulmans criminels. Qui plus est, on a vraiment besoin d'une discussion sérieuse sur les liens entre la culture musulmane et les comportements criminels et antisociaux. J'ai réussi à négocier un départ avec une indemnité de quatre mois de salaire. Je suis probablement le premier psychologue de Copenhague à qui on ait offert 20 000 dollars pour quitter volontairement son poste. Je pense qu'ils voulaient juste se débarrasser de moi aussi tôt que possible. J'ai trouvé un travail bien payé comme psychologue à l'armée, pour faire du débrouillage psychologique chez les soldats revenant d'Afghanistan. J'ai également commencé l'écriture de mon livre, où je décris le profil psychologique de la culture musulmane. Le livre s'intitule « Parmi les musulmans criminels : expérience d'un psychologue à la municipalité de Copenhague » (Among Criminal Muslims: A Psychologist's Experiences from the Copenhagen Municipality, Free Press Society, 2009).
Après avoir vu en thérapie 150 jeunes musulmans et 100 Danois (qui avaient en moyenne le même âge et étaient issus du même contexte social que leurs camarades musulmans), j'ai observé que les expériences culturelles et religieuses des musulmans jouaient un rôle central dans leur développement psychologique et dans leurs conduites criminelles. L'expression « criminels étrangers » n'est pas seulement un terme général et imprécis. Elle est injuste pour les étrangers non musulmans et d'une manière générale elle est trompeuse.
...tous les groupes musulmans sont plus criminels que tout autre groupe ethnique. Il est important de discuter des caractéristiques psychologiques de la culture musulmane. Il y a au Danemark des étrangers venus du monde entier et, à en croire les statistiques officielles de Danmarks Statistik, tous les groupes d'immigrants non musulmans ont une criminalité plus basse que les Danois de souche. Même après correction en fonction des niveaux scolaires et économiques, tous les groupes musulmans sont plus criminels que tout autre groupe ethnique. Dans la prison pour jeunes où je travaillais, sept détenus sur dix étaient musulmans.
Le livre a été l'objet de revues dans plusieurs journaux et magazines et il a donné le coup d'envoi au débat danois sur les liens entre contexte culturel et comportement criminel. Le Danish magazine for professional psychologists (destiné aux psychologues professionnels) a écrit :
...Among Criminal Muslims est un ouvrage qui fait ouvrir les yeux, provocant, convaincant et bien informé, avec de nombreux exemples concrets.
Le magazine professionnel des enseignants d'adolescents a écrit :
Les réflexions de Sennel et la discussion critique sur nos efforts en direction des jeunes criminels méritent d'être largement connues.
Notre plus grand journal national, Jyllands-Posten, celui qui a publié les caricatures de Mahomet, a écrit :
Ce livre est le travail original d'un pionnier, qui met l'accent sur la responsabilité de l'individu et évoque l'impact de la religion sur la constitution de l'identité d'un jeune.
Voici un résumé de quelques uns des points que j'ai découverts.
Dans la culture musulmane, la colère est vue de manière très différente et opposée, sous plusieurs aspects, à la manière dont nous la percevons ici, en Occident.
Dans la culture musulmane, les comportements agressifs, et en particulier les menaces, paraissent être généralement admis et même attendus comme moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Dans la culture occidentale, la colère et la menace sont probablement la manière la plus rapide de perdre la face. Dans une discussion, celui qui se met en colère a automatiquement perdu, et j'imagine que la plupart des gens ont obervé l'impression de honte et la perte de statut social qui font suite à une manifestation d'agressivité au travail ou à la maison. Dans la culture musulmane, les comportements agressifs, et en particulier les menaces, paraissent être généralement admis et même attendus comme moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Si un musulman (pas une musulmane, car le plus souvent on attend d'elle qu'elle soit humble et ne manifeste pas de pouvoir) ne répond pas à l'insulte ou à la tension sociale par des menaces, il est perçu comme faible, comme quelqu'un sur qui on ne peut pas compter, et il perd la face.
Aux yeux de la plupart des Occidentaux, les comportements menaçants adoptés pour marquer son désaccord sont vus comme immatures et puérils. Selon un proverbe danois, « seuls les petits chiens aboient, les gros n'en ont pas besoin ». Ce proverbe est profondément ancré dans notre psychologie culturelle, c'est l'un des principes de base d'un comportement social civilisé. Pour nous, l'agressivité est un signe manifeste de faiblesse. C'est le signe que la personne ne se contrôle pas et qu'elle est incapable de gérer la situation. Nous percevons la capacité des gens à rester calmes comme traduisant la confiance en soi et permettant d'élaborer un dialogue constructif. La connaissance des faits, le recours au bon sens et la capacité à présenter des arguments valables sont perçus comme des signes de force.
L'expression islamique de « sainte colère » est donc parfaitement contradictoire avec la pensée occidentale. Ces deux mots mis ensemble, nous les percevons comme contradictoires. La menace terroriste et la réaction violente des musulmans à l'affaire des caricatures danoises de Mahomet, montrant leur prophète comme un homme prêt à recourir à la violence pour répandre son message, nous font sourire : la réaction agressive des musulmans à un dessin montrant leur prophète comme agressif confirme absolument la vérité du constat dressé par Kurt Westergaard dans son dessin.
Cette différence culturelle est extrêmement importante quand on a affaire à des régimes ou des organisations islamiques. Notre manière de traiter les désaccords politiques passe par le dialogue diplomatique et appelle les leaders musulmans à user de compassion, de compromis et de bon sens. Cette approche pacifique est perçue par les musulmans comme l'expression d'une faiblesse et d'un manque de courage. Ainsi, éviter le risque d'un vrai combat est perçu par eux comme une faiblesse ; dans la culture musulmane, c'est une invite à l'exploitation.
Il y a une autre grande différence entre les gens de cultures occidentale et musulmane : leur centre de contrôle. Le centre de contrôle est une expression de psychologie qui décrit si les gens ont le sentiment que leur vie est principalement sous l’influence de facteurs internes ou externes. D’un point de vue psychologique, il est clair que les Occidentaux ont le sentiment que leur vie est principalement sous l’influence de forces internes : nous-mêmes. Cela se traduit dans nos points de vue, notre manière de gérer nos émotions, nos modes de pensée, nos relations avec notre entourage, nos motivations, nos excès et notre manière de communiquer. Ce sont ces facteurs internes qui guident notre vie et déterminent si nous nous sentons bien et si nous avons confiance en nous ou pas. Toutes les bibliothèques en Occident ont plusieurs mètres d’étagères pleines de livres sur les moyens de s’aider soi-même. Tous les kiosques affichent des dizaines de magazines pour hommes ou pour femmes qui nous disent comment nous construire une vie plus heureuse et plus réussie. Nos annuaires téléphoniques ont des colonnes entières d’adresses de psychologues, de coaches et de thérapeutes. Tout cela vise à nous aider à bâtir la vie que nous voulons. Certains diront peut-être que toute cette introspection est excessive et qu’il serait plus constructif de se limiter à faire ce qui est utile pour soi-même et pour les autres, ici et maintenant ; mais notre culture est ainsi faite.
Tout cela n’existe pas dans la culture musulmane et dans les pays musulmans. Le peu de psychiatrie et de psychologie qui est enseigné, et cela dans un très petit nombre d’universités du monde musulman, est importé de l’Occident. L’enseignement de ces sujets est dispensé pour l’essentiel par des professeurs formés dans des universités occidentales et tout cela n’a aucune racine dans la culture musulmane.
Mais les musulmans ont quelque chose d’autre. Ils ont des règles externes strictes, des traditions et des lois qui régissent le comportement humain. Ils ont un dieu qui décide du cours de leur vie. « Inch’Allah » vient tout de suite après toute déclaration sur des plans pour l’avenir : si dieu veut. Ils ont de puissants religieux musulmans qui fixent chaque vendredi l’orientation de leur communauté. Ces religieux disent ce qu’il faut penser en politique, comment il faut élever ses enfants, et comment ou pourquoi s’intégrer ou non aux sociétés occidentales.
Le centre de contrôle est un élément essentiel de la manière dont nous comprenons les problèmes et leurs solutions. Quand on est élevé dans une culture où on apprend que « je suis le maître de ma destinée : je suis le capitaine de mon âme », comme l’écrivait William Ernest Henley dans son célèbre poème Invictus, en 1875, on regarde à l’intérieur de soi en cas de problème, et on se demande : « où ai-je fait une erreur ? » et « que puis-je faire pour modifier la situation ? ». Les gens à qui on a appris toute leur vie que les règles extérieures et les traditions sont plus importantes que la liberté individuelle et la réflexion sur soi se demandent : « qui m’a fait ça ? » et « qui peut faire quelque chose pour moi ? »
Dans les sociétés bâties sous l’influence de l’islam et du Coran, il y a sans doute moins de sentiment de culpabilité et les gens sont donc plus libres d’exiger que l’environnement s’adapte à leurs propres souhaits et désirs. Le centre de contrôle est donc un élément capital de la manière dont le sujet comprend la liberté et la responsabilité. Même si nos sociétés de culture chrétienne donnent dans certaines situations trop d’importance aux sentiments de culpabilité, elles renforcent chez les gens la notion qu’ils sont capables de prendre en charge leur propre vie et de la modifier. Dans les sociétés bâties sous l’influence de l’islam et du Coran, il y a sans doute moins de sentiment de culpabilité et les gens sont donc plus libres d’exiger que l’environnement s’adapte à leurs propres souhaits et désirs. Il peut s’agir par exemple de l’exigence de porter des vêtements islamiques, ce qui peut aboutir à exiger encore davantage d’islamisation de nos sociétés occidentales, mais c’est aussi une puissante source de positions victimaires, ce qui conduit à des exigences sans fin auprès de la société environnante.
De manière très concrète, cette tendance culturelle se manifeste dans les thérapies, sous la forme d’une absence de remords. La réponse classique des musulmans violents était toujours : « ...c’est de sa faute si je l’ai frappé. Il m’a provoqué ». Ces excuses montrent que les gens vivent leurs propres réactions comme dues à des facteurs externes et non à leurs propres émotions, à leurs motivations et à leur libre décision. Quand on reçoit une insulte, on peut modérer ses sentiments en faisant un examen de conscience, mais ce genre de réflexion sur soi n’est pas aussi fréquent chez les musulmans que chez les Occidentaux. Il suffit d’une personne pour casser la figure à une autre : celle qui frappe. Il suffit aussi d’une personne pour se sentir insulté. Être frappé ou se sentir insulté sont donc deux faits sociaux parfaitement distincts. Le second ne dépend que de soi, alors que le premier n’est dû qu’à des circonstances extérieures. Malheureusement, cette différence n’est pas prise en considération dans la culture musulmane, et apparemment pas non plus par les gens favorables à des lois sur les discours de haine, le racisme et la diffamation.
La différence de mentalité est clairement affirmée par un vieux proverbe indien :
On peut se promener partout en douceur en mettant une paire de chaussures, ou en exigeant que la Terre entière soit recouverte de cuir souple.
C’est une question de centre de contrôle.
Réflexion sur soi et conséquences
J’ai observé chez les musulmans cette différence culturelle concernant le centre de contrôle. C’est la source de l’échec d’innombrables projets sociaux et d’intégration. En plus du soutien considérable apporté par nos systèmes d’aide sociale, nos états proposent aux jeunes criminels musulmans toute une gamme de distractions et de conseils, dans l’espoir que la reconnaissance et la confiance que provoquent normalement une telle générosité créeront une bonne relation, permettront le respect et pousseront à la volonté de coopérer. Mais lorsque le programme d’événements sociaux et de rencontres avec des travailleurs sociaux patients se termine et que l’on demande un comportement mature, le « respect mutuel » s’évapore bien souvent.
Les Occidentaux ont l’impression que ce sont « nos normes » qui déterminent les vraies conséquences chez les gens. Nous aimons à penser que, s’ils bénéficient de conseils et qu’on leur offre une deuxième chance, la plupart des gens tireront profit de ces conseils et sauront saisir leur chance pour s’améliorer. Nous avons peur de marquer des limites strictes parce que nous n’aimons pas que les gens se sentent punis, même si notre motivation est d’empêcher les gens de détruire leur propre vie et celle des autres.
Ce qu’il nous faut comprendre, c’est que nous devons avoir la souplesse nécessaire pour penser hors de nos propres cases culturelles. Je voudrais citer notre philosophe danois, Søren Kierkegaard. Dans son livre Either/Or: A Fragment of Life, il écrit :
« Si on veut véritablement aider quelqu’un, il faut commencer par trouver où il est. C’est le secret de l’art d’aider. Celui qui ne sait pas le faire est un arrogant ».
L'auto-critique et la responsabilité personnelle ont beaucoup moins d’importance pour eux.
Les politiciens européens, australiens et nord-américains ont dépensé des milliers de milliards d’euros et de dollars pour éviter ce qui est apparemment inévitable : l’échec de l’intégration des musulmans. On a dépensé de l’argent en offres volontaires que nos étrangers mal intégrés peuvent utiliser s’ils le veulent. Ils essaient parfois, mais c’est très rare que cela fonctionne. Ce que nous devons comprendre, c’est que nous avons affaire à des gens qui ont été élevés dans une culture où le centre de contrôle est extérieur. L'auto-critique et la responsabilité personnelle ont beaucoup moins d’importance pour eux.
Pendant mes années d’activité comme travailleur social, puis comme psychologue m’occupant d’individus antisociaux, j’ai compris que la seule manière raisonnable d’avancer est un processus en trois étapes :
- Fournir aide et conseils. Si cela ne fonctionne pas, alors,
- Instaurer des frontières et des limites. Si cela ne suffit pas, alors passer aux
- Conséquences.
Ce que je dis ici peut sembler plus politique que psychologique. Cependant, c’est toute ma longue expérience des thérapies avec des musulmans qui m’a amené à cette affirmation : Nous ne devons pas permettre la destruction de nos villes par des sociétés parallèles sans loi et leurs bandes criminelles de pillards musulmans qui surchargent nos systèmes d’aide sociale, et la peur croissante et justifiée des non-musulmans devant la violence. Les conséquences devraient être suffisamment strictes pour que tout musulman antisocial en vienne à préférer retourner dans un pays musulman, où il pourra comprendre et être compris par sa propre culture.
Notre erreur, c’est que nous démarrons en étant très permissifs et qu’à mesure que les jeunes antisociaux font des fautes nous ne restreignons que lentement leur liberté. Pendant ce temps, très souvent, ces jeunes gens s’arrangent pour détruire leur propre vie par de mauvaises habitudes, de mauvais amis et de mauvais casiers judiciaires. Selon ma propre expérience et celle de nombreux collègues, la seule solution fonctionnelle est de tenir la laisse plus courte dès le départ. Alors, à mesure que les personnalités difficiles montreront qu’elles sont capables de gérer davantage de liberté, on pourra élargir leurs possibilités.
Cette manière de commencer en tenant la laisse courte est en fait très habituelle dans notre manière occidentale d’élever les enfants. Nous commençons avec des exigences strictes en matière d’école, de devoirs à la maison, et de bonne conduite. Puis, quand l’enfant grandit et mûrit, ses parents lui laissent davantage de liberté. À 21 ans, on estime qu’il a assez appris pour savoir vivre sa vie et il est libre de choisir l’éducation, le partenaire, la religion ou le mode de vie qu’il veut.
Dans la culture musulmane, c’est différent, surtout pour les garçons. Les enfants ont beaucoup de liberté au début de leur vie et, à mesure qu’ils grandissent, il semble que la structure familiale soit soutenue par des restrictions culturelles et religieuses de plus en plus nombreuses. Quand ils ont 20 ans, leurs parents ont souvent déjà choisi leur future femme ou leur futur mari. Les autres choix, eux aussi, sont moins libres : l’attente, par exemple, de l’obtention d’un statut élevé par l’éducation ou le travail dans la petite boutique familiale, le soutien à la réputation de la famille par la participation aux prières du vendredi à la mosquée locale. La « pyramide de l’éducation » est à l’envers en Occident : moins de liberté au début, plus de responsabilité quand on grandit. Dans la culture musulmane, la pyramide repose sur sa base : peu d’exigences quant à un comportement civilisé pour le jeune garçon, et moins de liberté quand il devient plus compétent, pour soutenir sa famille et sa religion.
D’après mon expérience avec les 150 musulmans que j’ai eus en thérapie, seuls une poignée se sentaient danois. La plupart se sentaient somalis, turcs, pakistanais et irakiens, vivant désormais au Danemark. Pratiquement aucun d’entre eux ne se considérait comme partie intégrante de la société danoise. Ils se sentaient aliénés et opposés aux Danois et à la société danoise. Ils ne se sentaient pas chez eux.
Parmi les musulmans, les plus populaires étaient les vrais islamistes. Cela avait été pour moi un véritable choc. Beaucoup de mes patients musulmans étaient des immigrés de la deuxième ou même de la troisième génération, mais malgré tout ils ne se sentaient pas danois. En fait, il semblait que beaucoup d’entre eux étaient encore plus religieux et haineux à l’égard des non-musulmans que leurs parents de la première génération. Il était clair pour moi qu’ils se considéraient comme très différents et même meilleurs que les non-musulmans. Les jeunes Danois qui manifestaient de l’intérêt pour l’islam étaient tout de suite vus d’un bon œil, même par des musulmans non pratiquants. Il en était de même des musulmans plus fondamentalistes. Les cercles de pouvoir se constituent toujours autour des musulmans les plus observants, fanatiques et puissants. Parmi les musulmans, les plus populaires étaient les vrais islamistes. Le portrait général de ces personnages est celui d’un homme, portant une barbe bien taillée, des lunettes élégantes. Il a une attitude arrogante, des manières et des vêtements raffinés, et sur son lit on trouve le Coran et des CD de lecture du Coran. Typiquement, ces hommes apprennent une poignée de théories de la conspiration « prouvant » que l’Occident, et tout particulièrement les États-Unis et les quelques millions de juifs laissés sur cette Terre, sont la cause de tous les problèmes du monde musulman.
Je n’ai tenu aucune statistique d’aucune sorte, mais mon expérience reflète clairement plusieurs projets de recherche sur l’identité musulmane en Europe. Une enquête française dans Le Figaro a montré que seuls 14 pour cent des 5 millions de personnes auxquelles on estime la population musulmane du pays se sentent « plus français que musulmans ». Des recherches conduites par le ministère allemand de l’Intérieur montrent que seuls 12 pour cent des musulmans vivant en Allemagne se considèrent comme plus allemands que musulmans. Une enquête danoise publiée par l’organisation promusulmane et prodémocratique Democratic Muslims, conduite par le parlementaire danois musulman Naser Khader a montré que seuls 14 pour cent des musulmans vivant au Danemark s’identifiaient comme à la fois « démocrates et danois ». Par ailleurs, Naser Khader a fait une critique de mon livre :
L’expertise professionnelle de Nicolai Sennels, quel que soit le parti auquel il appartient, est exceptionnelle et, avec les exemples pratiques clairs qu’il présente tout au long du livre, le lecteur s’approche infiniment plus de la compréhension de quelques uns des problèmes d’intégration. Lire ce livre devrait être une obligation pour tous les professeurs, les travailleurs sociaux et les municipalités.
Khader étant lui-même musulman et ayant publié un livre sur la culture musulmane (L’honneur et la honte), c’est un véritable compliment pour mes conclusions psychologiques.
Il est clair que le fait d’être musulman passe avant toute identité nationale. Il est clair que le fait d’être musulman passe avant toute identité nationale. Samuel P. Huntington - auteur du livre Le choc des civilisations - a décrit un modèle en « U ». Mes constats sont très proches de ceux de Huntington. Les sommets des deux « tours » du « U » sont les endroits où les musulmans se sentent « appartenir à l’Oumma » (la communauté musulmane mondiale) et « appartenir à la tribu » (se rassembler entre musulmans dans la même région géographique). À la partie basse du « U » se trouve l’identité nationale. Pour les Occidentaux, c’est l’inverse, notre « U » est à l’envers. Notre sentiment de devoir envers le pays où nous vivons est plus fort que notre religion ou notre groupe.
Si l’intégration ... implique aussi d’acquérir l’habitude mentale de respecter également les non-musulmans, elle est tout simplement impossible pour la plupart des musulmans. Si l’intégration se limite à apprendre la langue et à trouver un travail, elle n’a rien de particulièrement difficile. Mais si elle implique aussi d’acquérir l’habitude mentale de respecter également les non-musulmans, elle est tout simplement impossible pour la plupart des musulmans. Ils se considèrent comme à part, cherchent toujours à vivre ensemble, créent leurs propres sociétés parallèles musulmanes/islamiques, se sentent différents et ont moins de respect pour les non-musulmans. La véritable intégration n’implique pas nécessairement une conversion religieuse. Mais, pour les musulmans, elle suppose sûrement une conversion culturelle. Il est manifeste que très peu de musulmans ont la volonté, la liberté sociale et la force de caractère nécessaires pour affronter un processus aussi exigeant psychologiquement.
Alors, telle est LA question : l’intégration des musulmans aura-t-elle lieu, de manière satisfaisante, jusqu’au degré nécessaire ? Si vous pensez que oui, sur quoi fondez-vous votre opinion ? Sinon, quelles seront selon vous les conséquences ?
L’honneur est une notion centrale dans la culture musulmane. De nombreux journaux danois ont connu la rage de masse des musulmans quand ils ont publié et republié les caricatures danoises de Mahomet. Ils se sont rendu compte que les musulmans se sentent très facilement offensés.
Quelle sorte d’honneur a besoin d’être protégée par des menaces de terreur et des boycotts ? S’agit-il vraiment d’honneur ? Peut-être si on regarde dans l’optique d’une culture fondée sur un livre écrit il y a 1400 ans. Mais, du point de vue de la psychologie occidentale moderne, ce n’est certainement pas le cas. De notre point de vue, ce comportement est plus proche du déshonneur.
Malheureusement, la culture musulmane dit à ses hommes que la critique doit être prise entièrement pour soi et qu’il faut y réagir de manière puérile. Devoir constamment faire attention à son aspect, se sentir peu sûr de soi et réagir avec agressivité en cas de critique, c’est le résultat d’une piètre estime de soi. Malheureusement, la culture musulmane dit à ses hommes que la critique doit être prise entièrement pour soi et qu’il faut y réagir de manière puérile.
Une vraie confiance en soi permettrait à l’individu de penser ou de dire : « D’accord. Vous avez votre opinion sur moi ou ma religion. J’en ai une autre et, comme je me fais confiance, je ne vous laisserai pas troubler ma vision de moi-même ou de mes valeurs essentielles ». Connaître ses propres forces et faiblesses et les accepter est au cœur de la confiance en soi.
Si vous passiez du temps dans une communauté musulmane, vous vivriez cela très clairement. Vous seriez tout le temps en train d’essayer de n’offenser personne et vous traiteriez tout le monde comme un œuf pourri. Plaisanteries, ironie et tout particulièrement autodérision n’existent pratiquement pas. Cela crée un environnement social superficiel où surgissent partout des hiérarchies malsaines parce que personne n’ose, par exemple, dénoncer les faiblesses des hommes puérils et se moquer des puissants. Un vieux conte de fées danois parle d’un petit garçon qui dit que le roi est nu : « Il n’a pas de vêtements ! », embarrassant ainsi le fier roi qui porte ses habits magiques imaginaires et seulement visibles par « le bon peuple » (en fait, le roi était effectivement nu, parce que le tailleur l’avait trompé !). Une telle histoire n’aurait jamais pu être écrite dans une culture musulmane.
De nombreux jeunes musulmans deviennent des agresseurs. Ce n’est pas seulement dû au fait que la culture musulmane admet l’agression, mais aussi au fait que le sens de l’honneur musulman les transforme en hommes fragiles et pas sûrs d’eux-mêmes. Au lieu d’être souples et de faire preuve d’humour, ils deviennent rigides et acquièrent des personnalités narcissiques, fragiles comme le verre.
Malheureusement, la plupart des journalistes et des médias utilisent le terme d’« honneur » quand ils décrivent des cas de violence où l’agresseur s’excuse en affirmant que son honneur a été blessé. La notion d’honneur étant complètement intégrée dans les règles sociales de la culture musulmane, la violence paraît justifiée lorsque l’honneur est menacé. Cela va jusqu’à frapper ou tuer des femmes qui réclament des droits humains aussi élémentaires que de choisir elles-mêmes leurs partenaires sexuels. En utilisant ce mot, de la même manière que l’agresseur, les médias adoptent automatiquement la vision de l’agresseur qui fournit une excuse narcissique et psychopathique aux mauvais traitements qu’il a infligés. Nous devrions au contraire nous fonder sur notre culture occidentale pour décrire ce genre de crimes. Des termes comme « exécution familiale », « jalousie infantile », « maniaque du contrôle » ou « pas sûr de lui » seraient bien plus proches de notre vision culturelle de ces comportements.
Les conséquences de l’échec de l’intégration ?
Le Forum économique mondial a publié un rapport intitulé Islam and the West: Annual Report on the State of Dialogue 2008 (Islam et occident : rapport annuel sur la situation du dialogue en 2008) où il présente les résultats d’une enquête menée dans 12 pays non musulmans et 12 pays musulmans. Le dernier point de ce rapport concerne la question suivante : « Pensez-vous qu’un conflit violent entre le monde occidental et le monde musulman peut être évité ? » La majorité des 24 pays pense que ce conflit peut être évité. Mais ce n’est pas la même chose que de penser que ce sera effectivement le cas. Massivement, 22 pays sur 24 ont pensé que « l’interaction entre le monde occidental et le monde musulman va de plus en plus mal ».
Cette enquête a clairement montré que, alors que l’espoir d’une issue pacifique aux tensions entre l’islam et l’Occident est très répandu, les gens paraissent très pessimistes.
Les choses ne vont pas dans le sens de la paix.
Je pense qu’un conflit violent peut être évité. Mais les chances d’aboutir à ce résultat deviennent de plus en plus minces mois après mois. Personnellement, mes conclusions sont en accord avec celles de l’enquête. Je pense qu’un conflit violent peut être évité. Mais les chances d’aboutir à ce résultat deviennent de plus en plus minces mois après mois. Nous avons franchi le point de non-retour il y a plusieurs années, à une époque où ce conflit aurait pu être évité sans mesures drastiques. Les mesures draconiennes à prendre seront peut-être de mettre fin à l’immigration musulmane, d’exiger une réforme des organisations et leaders islamiques en Occident, de resserrer les exigences en matière d’intégration, de devenir moins dépendants du pétrole du Moyen-Orient, d’inciter les pays pauvres et extrêmement surpeuplés à avoir moins d’enfants, de créer une alternative à l’ONU réservée aux pays démocratiques, d’enlever à l’Union européenne le pouvoir de forcer les pays d’Europe à recevoir davantage d’immigrants et réfugiés musulmans, et peut-être même de renvoyer dans leur pays d’origine les musulmans qui se sont montrés incapables de s’adapter à nos lois occidentales laïques.
Il est probable que ces mesures drastiques sont nécessaires. Mais nos politiciens ont décidé de commencer par laisser flotter les rênes puis, lentement et avec beaucoup d’hésitation, de les raccourcir à mesure que les choses vont en empirant sans cesse. Avec de tels politiciens, les islamistes peuvent s’adosser confortablement et profiter du spectacle. La destruction de l’Occident non islamique libre et « perverti » se produira toute seule.
Le monde musulman étant déjà là - sous la forme de milliers de ghettos musulmans en Europe, en Australie et en Amérique du nord - la probabilité d’un conflit violent dans les villes occidentales du monde entier est très élevée.
Nous devons bien mieux comprendre la culture musulmane si nous voulons parvenir à éviter une pareille catastrophe. Nous devons comprendre qu’il n’est pas possible d’intégrer des masses de musulmans dans nos sociétés occidentales. Nous devons comprendre que notre manière occidentale de résoudre les conflits sans affrontement nous fait paraître faibles et vulnérables aux yeux des leaders musulmans. Nous devons comprendre que la culture musulmane est beaucoup plus forte et plus déterminée que notre culture occidentale chargée de culpabilité et d’auto-accusation. Nous devons comprendre que les musulmans ne se sentiront chez eux que dans une culture musulmane et c’est pourquoi leurs exigences religieuses d’une islamisation de l’Occident ne cesseront jamais.
Lorsqu’un religieux islamique populaire déclarera qu’une région musulmane est islamique (ces déclarations sont la tradition de l’islam, et sont prononcées partout dans le monde, en Chine, en Thaïlande, en ex-Yougoslavie, en Russie, en Afrique, etc.) et ordonnera à ses adeptes d’attaquer toute autorité non islamique pénétrant dans la région, nous aurons des guerres civiles. Aucun état ne peut tolérer une telle attaque contre son autorité, et il faudra empêcher que cela survienne et empêcher que cela s’aggrave. Ces zones autonomes « interdites » sont déjà remplies de criminels violents, d’armes et d’extrémistes islamiques. Il est probable qu’ils ne livreront pas leurs armes volontairement aux autorités, et qu’ils ne se livreront pas eux-mêmes. De telles déclarations islamiques ont déjà eu lieu de manière non officielle. Tous les pays d’Europe occidentale ont ce genre de zones « interdites » où les policiers et les autorités sont reçus sous les menaces et sous les jets de pierres ; tout cela pendant que les autorités islamiques comme les imams et les tribunaux islamiques maison gèrent librement ces zones interdites, créant des ghettos musulmans.
Un mouvement populaire composé de citoyens ordinaires se dressant contre la culture immature et psychologiquement malsaine de l’islam, c’est la voie et c’est l’objectif. Rien n’est plus important. Après avoir entendu de la bouche même des musulmans les histoires sur leur culture, leur religion, leurs pays d’origine, les ghettos musulmans, leurs vues sur les non-musulmans, sur la démocratie, sur les femmes et sur la liberté, je n’ai aucun espoir qu’il nous soit possible d’éviter « le sang, la sueur et les larmes » pendant ce conflit. Il faudra beaucoup d’hommes et de femmes idéalistes pendant de nombreuses années avant d’atteindre le point où nous serons certains que notre culture amoureuse de liberté gagnera un pareil conflit. Telles que sont les choses aujourd’hui, cette victoire n’est absolument pas certaine. J’espère que beaucoup de gens courageux se dresseront pour défendre tout ce en quoi nous croyons, et comprendront avec quelle facilité nous pouvons tout perdre. Ils pourraient écrire des lettres à leurs journaux, étudier le Coran et les statistiques criminelles (les deux seules sources nécessaires pour se convaincre que l’immigration musulmane est une très mauvaise idée). Ils pourraient aussi présenter leurs opinions avec assurance quand la conversation vient sur l’islam et l’immigration musulmane, que ce soit au déjeuner, au travail ou dans des repas de famille. Un mouvement populaire composé de citoyens ordinaires se dressant contre la culture immature et psychologiquement malsaine de l’islam, c’est la voie et c’est l’objectif. Rien n’est plus important.
La conférence « Diversité et sécurité dans la ville » donnée le 27 février 2008 a eu pour résultat concret un prétendu « catalogue d’idées ». Ce catalogue comportait plus de 118 idées sur ce que les médias, la police, l’état, les politiciens et les Danois pouvaient faire pour améliorer l’intégration. Il n’y avait pratiquement aucune idée quant à ce que les étrangers eux-mêmes pouvaient faire pour cela.