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19 juin 2009 5 19 /06 /juin /2009 14:53
ב''ה



Qui est Gog du pays de Magog ?

Ce nom apparaît dans la Bible, dans le livre du Prophète Ezéchiel, chapitre 38, verset 2. C’est l’annonce de l’invasion d’IsraEl par la coalition de Gog du pays de Magog. En fait, c’est le D.ieu d’IsraEl qui l’attire dans Son Pays pour qu’il tombe dans Son piège.

Le nom Obama en hébreu se forme à partir du Aleph final du mot traduit par « Président » ainsi que de chacune des septièmes lettres hébraïques suivantes (rouges).

1 La parole de HaChèm’ me fut adressée pour dire : 2 "Fils d'homme, dirige ta face vers Gog au pays de Magog

 

 

 

 

 

président de Roch, Méchèkh et Touval et prophétise sur lui. 3 Tu diras : Ainsi parle le Seigneur HaChèm’:

Me voici vers toi, Président Gog, tête de Méchèkh (l’étendue) et Touval (Tévèl signifie : globe)


4 Je vais t'entraîner, je mettrai des crochets dans tes mâchoires et je te ferai sortir, toi et toute ton armée, chevaux et cavaliers, tous vêtus magnifiquement, en foule énorme, avec protections et boucliers, tous armés de glaives.

5 La Perse (l’Iran), l’Afrique Noire et Pouth (la Lybie) seront avec eux, tous munis de boucliers et de casques.

6 Gomer et toutes ses légions, la maison de Togarma, l'extrême Nord et toutes ses légions, des peuples nombreux seront tes auxiliaires.

7 Tiens-toi prêt, prends tes dispositions, toi et toutes ces masses qui se sont groupées près de toi, monte la garde pour elles.

8 Après de longs jours, tu seras mandé, à l'expiration de nombreuses années tu envahiras un pays affranchi du glaive, recueilli d'entre des peuples nombreux, les montagnes d'IsraEl, qui étaient sans cesse en ruine : oui, elle (IsraEl) a été retirée des nations et tous ils habitent en sécurité.

9 Tu monteras, tu viendras "kaChoa" = comme une shoah (et non "comme l'ouragan"), tu seras comme la nuée pour couvrir la terre, toi et toutes tes légions et des peuples nombreux avec toi."

Nassi ou Néssi signifie « prince » et de nos jours « président ».

Roch peut être un nom propre, et il signifie aussi « tête »

Méchèkh peut être un nom propre, et il signifie aussi « étendue »

Touval peut être un nom propre, qui vient de Tévèl (même orthographe  תבל  ) et signifie : « globe »

 



Ci-après, extrait de "Arrêter le délire ravageur de Barack Hussein Obama" de Guy Millière © Metula News Agency:

"Ce dont rêve Barack Hussein, c’est d’un Proche-Orient apaisé, parsemé de dictateurs et d’islamistes peut-être, mais de dictateurs et d’islamistes prêts à s’entendre avec les Etats-Unis.

Si le prix de l’entente est le sang de milliers d’Iraniens, Barack Hussein est prêt à le payer ; si le prix est l’humiliation des Etats-Unis, Barack Hussein est prêt à le payer aussi ; si le prix est une nucléarisation de l’Iran, Barack Hussein a déjà déclaré, je l’ai dit, qu’il acceptait celle-ci.

Si le prix doit être un anéantissement d’Israël, Barack Hussein n’hésiterait guère, je le crains, à condition que l’anéantissement se fasse par étapes, graduellement, par étouffement et amputations successives, sans effusion de sang susceptible d’effaroucher l’électorat juif américain.

Je pense, d’ailleurs, que c’est parce qu’Ahmadinejad et les mollahs savent à qui ils ont affaire qu’ils se permettent la radicalisation et la violence actuelles. Obama ne l’ignore pas, mais pense déjà à l’étape suivante.

Or l’étape suivante est, sur son agenda, la discussion avec un Iran nucléaire et avec des régimes arabes inquiets de voir l’Iran doté du nucléaire. Les composants de cette étape sont déjà en place. Et c’est parce que les composants de cette étape sont déjà en place, que la radicalisation se lit aussi dans le discours des dirigeants palestiniens, qui, ces derniers jours, ne s’embarrassent guère de circonlocutions, pas plus d’ailleurs que des dirigeants arabes "modérés" tel Hosni Moubarak.

Cette étape consistera à tenter d’installer Israël en position de bouc émissaire, puis de victime expiatoire.

Le premier mouvement vers cette étape a consisté à incriminer Israël pour les « implantations » en Judée-Samarie, et à comparer celles-ci à des colonies, et Israël à un Etat colonial, voire à un Etat pratiquant l’esclavagisme ou l’apartheid. Le message en filigrane est : ou bien Israël se retire de tous les territoires « colonisés », ou bien Israël mérite d’être mis au ban de l’humanité.

Le second mouvement a consisté à expliquer que la colonisation israélienne, si elle ne s’interrompait pas, serait responsable de la nucléarisation de l’Iran. Le message, là, est destiné au monde arabe et européen : nous, Américains, avons fait ce que nous avons pu, vous déplorez la nucléarisation de l’Iran ? Voyez le responsable, qui est Israël.

Le mouvement suivant, présent entre les lignes dans le discours du 4 juin, est : nous, Américains, sommes en faveur d’une dénucléarisation généralisée ; l’Iran s’est doté du nucléaire, mais il y a déjà une puissance nucléaire dans la région, Israël. Le message ? Si Israël se dénucléarise, diront de charmants diplomates made in Obama nous obtiendrons un arrêt de la course au nucléaire dans la région et une possibilité de voir l’Iran renoncer au nucléaire militaire.

Le dernier mouvement consistera à placer les dirigeants israéliens face à une offre que, comme on dit dans la mafia et autour d’Obama, ils ne pourront pas refuser. Soit, dira Barack Hussein, Israël accepte le plan de paix saoudien dans son intégralité, et y ajoute l’adhésion au traité de non prolifération nucléaire, soit Israël perdra le soutien des Etats-Unis, qui se rangeront sur la position unanime des Européens, du monde arabe, et, au delà, du monde musulman tout entier.

Barack Hussein ne désespère pas d’avoir l’assentiment de la communauté juive américaine pour parvenir à ses fins. Avoir parlé de la naissance d’Israël comme d’un effet secondaire de la Shoah n’est, en ce contexte, pas une « erreur de compréhension » de l’histoire de la part d’Obama, comme on l’a dit ici ou là. Dans le monde arabe et musulman, et de plus en plus en Europe, c’est ainsi qu’on présente Israël, et cela permet d’identifier ceux qui parlent des racines du peuple juif sur sa terre au Proche-Orient comme des « extrémistes », voire des « fondamentalistes », donc des êtres détestables.

Binyamin Netanyahu a parfaitement conscience de ce qu’est la stratégie d’Obama, et son discours du 14 juin a constitué une tentative d’arrêter la machine infernale qui est en marche. Aux fins de faire un geste d’apparence en direction d’Obama, il a admis la nécessité de deux Etats, donc celle d’un Etat palestinien, avec son drapeau et son hymne.

Aux fins de désamorcer le geste et de montrer aussitôt qui ne veut pas de la paix et d’un Etat paisible à côté d’Israël, Netanyahu a ajouté que cet Etat devait être démilitarisé. Quel besoin d’une armée, si les Palestiniens veulent vivre en paix avec des voisins prêts à accueillir favorablement l’Etat palestinien nouveau né ?

Autre condition posée par Netanyahu au futur Etat de Palestine : ne pas passer d’accords avec des entités hostiles à Israël ; mais quel besoin de passer des accords avec des Etats hostiles à Israël, si l’Etat palestinien entend vivre en paix avec l’Etat hébreu ?

Bien entendu, et comme c’était prévisible, les dirigeants palestiniens ont refusé la création d’un Etat ainsi défini, tout comme ils ont refusé de reconnaître Israël en tant qu’Etat du peuple juif.

Netanyahu en a profité pour rétablir certaines vérités historiques et pour rappeler le danger d’une nucléarisation de l’Iran. En parlant, Netanyahu savait qu’il ne s’adressait pas uniquement à sa nation, mais aussi au reste du monde, et, tout particulièrement, au peuple américain. Obama l’a discerné. Consultant les sondages qui n’approuvent pas un lâchage trop évident d’Israël, il a dû concéder que Netanyahu avait fait un « pas dans la bonne direction ».

La partie n’est pas finie pour autant. Et Obama n’a pas l’intention de la perdre et n’a, selon toute vraisemblance, pas renoncé à ses objectifs.

Si, comme je le crains, le régime des mollahs et Ahmadinejad survivent, on peut s’attendre à ce que Barack Hussein reparte à l’assaut et reprenne le cours de sa stratégie. Pour l’heure, si les Iraniens qui aspirent à la liberté sont seuls, Israël est seul aussi.

Les ministres des Affaires Etrangères et émissaires européens n’ayant, à la différence d’Obama, pas à se préoccuper de leurs opinions publiques, ont parlé de manière unanime. Sans reprendre les termes des dirigeants palestiniens, ils ont clairement montré que l’Europe se rapprochait du dar el islam, et qu’elle se plaçait, plus que jamais, dans une perspective anti-israélienne.

Le soutien des Etats-Unis à Israël se trouve sur une corde raide qu’Obama aimerait voir se rompre.

Barack Hussein ne s’arrêtera que si quelqu’un ou quelque chose l’arrête."


Nous nous confions dans le Rocher d'IsraEl.

Chabbath Chalom


 

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Published by Michael & Ola - dans Tora - Peuple et Terre d'IsraEl