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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 16:15

Qui sommes-nous, Hébreux israéliens ? Des colons ?

Depuis deux mille cinq cents ans, nous avons répété, malgré les invasions, les exils, les persécutions, les viols et les massacres : « l'année prochaine à Jérusalem ».
Quand il y a deux siècles a commencé l'aventure épique du retour massif à la terre, nous sommes redevenus "palestiniens".
Nos pères ont dû travailler une terre dure et inculte en faisant attention aux Bédouins et autres musulmans qui voulaient nous voir morts.
Golda Meir disait : "Je suis palestinienne mais je n'aime pas ce nom. 
La Palestine est le nom que les Romains ont donné au Pays d'IsraEl avec l'intention de faire oublier le nom d'IsraEl (c'était annoncé par le Psaume 83). 
Pourquoi devrions-nous utiliser un nom qui peut seulement nous humilier et nous rappeler le vol de notre terre ?"

Malheureusement le vol de la terre n’a pas seulement été une particularité des Romains, des Byzantins, des Arabes et des Turcs, les Anglais aussi ont fait fort.
En 1921, 78 % de ce que la Société des Nations avait désigné comme « Foyer National du Peuple juif » ont été donnés par ces mêmes Britanniques perfides à Abdallah, fils de Hussein ibn Ali, autoproclamé émir hachémite de la Mecque, chassé par Séoud.
Celui-ci a fondé la Transjordanie, sur la rive est du Jourdain.

En 1948 les Juifs sont devenus israéliens et ont aussitôt été envahis par des Egyptiens, des Libanais, des Syriens, des Iraqiens, des Séoudiens, des Transjordaniens, des Soudanais.
Abdallah de Transjordanie, avec son armée commandée par un Anglais, a envahi la Judée et la Samarie et les a appelées "Cisjordanie".
Il a oublié de fonder un Etat "palestinien" selon le voeu de l'ONU de partager nos 22% restants depuis 1921.
Il a laissé sa capitale à Amman, il a oublié que Jérusalem serait revendiquée par Arafat comme "troisième ville sainte de l'islam".

En 1948, les Juifs ont montré au monde qu'ils ne se laissaient plus faire.
IsraEl avait de nouveau un Etat et une armée.
Elle s'est battue contre les Anglais et les Etats arabes.
Elle (IsraEl est féminin dans la Bible, c'est l'épouse et la mère) a accueilli ses enfants, ses survivants.
Des survivants d'Europe, l'Europe nous en avait peu laissés.
Qu'elle ne vienne pas dire qu'IsraEl existe à cause de la choa,
car alors, nous aurions eu six millions d'habitants en plus.
IsraEl a donc accueilli des centaines de milliers de Juifs chassés des pays arabes.
(Ils y étaient arrivés, dans ces "pays arabes", bien avant les Arabes).
Alors le monde a commencé à pleurer sur un nombre égal de réfugiés "arabes" partis de notre Pays à la demande de leurs chefs.
Ils n'avaient jamais rien fait dans notre Pays (pas plus qu'ils n'ont fait ailleurs).
Ils avaient été attirés là par le développement juif du pays.
Les Etats arabes les ont "accueillis" dans des camps financés par VOS impôts.

Mais le KGB soviétique avait remarqué que les raclées périodiques que les 3 millions d'Israéliens devaient infliger régulièrement aux armées de 150 millions d'Arabes qui les attaquaient ressemblaient trop à l'histoire de David terrassant Goliath. 
Alors ils ont inventé le "peuple palestinien", plagiat du petit David... "palestinien" qui se défend avec une pierre contre un tank du nouveau Goliath... israélien.
Mais ceux-ci n'ont même pas su prononcer leur nouveau nom, qu'ils ont déformé immédiatement en filastin (ils n'ont pas vraiment tort, Goliath était philistin).
Le KGB et Arafat sa créature ont ainsi donné en pâture au monde le plus grand mensonge du Moyen-Orient depuis ce jour. 
Le monde s'est abreuvé de ce mensonge et s'est nourri de la haine la plus grande de l'histoire du monde, des origines à nos jours.
Cette haine pour les Juifs, la haine pour IsraEl, est tellement immense qu'elle fait perdre la raison à ceux qui y goûtent.
Chaque jour nous pouvons la toucher du doigt en lisant les nouvelles. 
Tout le monde nous déteste à sa manière, ceux qui nous calomnient, ceux qui nous boycottent, ceux qui nous insultent, ceux qui nous dénient le droit de vivre et de nous défendre et nous chargent de tous les péchés du monde.

Mais savoir supporter en continuant à vivre toujours mieux, voici notre force de toujours. Si nous ne l'avions pas eue, nous serions disparus il y a 2000 ans.
Mais nous sommes ici, nous avons construit un beau pays en partant de zéro.
On nous déteste ? Nous, nous plantons un arbre. 
On nous calomnie ? Nous, nous plantons une forêt.
On nous boycotte ? Nous, nous construisons une centrale solaire dans le désert.
On devrait nous admirer et nous respecter, on devrait se rendre compte de l'énorme travail accompli par les Israéliens, dans des conditions de vie à la limite du supportable pour transformer une terre de sable, de marais et de paludisme en ce jardin d'Éden actuel.

Au sud du Néguev, quand vous dépassez Beer-Cheva, vous entrez dans le Far-West d'IsraEl. Vous comparez les réalisations arabes - les femmes bâchées en noir portant leurs fardeaux, les hommes assis buvant leur café turc, très lentement, à l'orientale - avec autre chose...
Car le Néguev est le seul désert au monde qui recule.
Ici on peut se rendre compte de l'immense effort déployé pour transformer, en respectant la nature, tous ces rochers et tout ce sable du désert en jardins, en culture de raisins, d'aubergines, de poivrons, en villages d'étudiants où les scientifiques se consacrent à la recherche la plus avancée et vivent là avec leurs familles dans des oasis comme Sapir, les mochav et les qibbouts alentour.
Là, dans un de ces endroits magiques, après avoir fait quelques pas dans le silence, on arrive sur une terrasse naturelle surplombant le désert de Tsin'. Sur cette terrasse de terre et de pierres blanches se trouvent, ombragées par deux arbres, deux tombes, celles de David Ben Gourion et de Paula Ben Gourion.
Ils reposent devant la merveille de ce désert, entouré de familles de bouquetins. Ces bouquetins sont les seigneurs de ce territoire avec ses deux tombes sous les arbres qui semblent dire aux visiteurs :
« Moïse nous a amenés ici, il n'y a pas de pétrole, il n'y a pas de richesse. Ici, il y a l'amour que nous portons à notre terre dans laquelle nous élèverons nos enfants et nos petits enfants à jamais ».
Face à ces spectacles, à la lumière d'une telle force, une force qu'ici on respire à pleins poumons, un amour qui nous noue la gorge, que peut bien nous faire un pauvre homme qui hait IsraEl et nie la choa ? 
Seulement de la douleur et du dégoût.
Pensons plutôt au Maître du monde qui nous donne Sa terre, Son soleil, Son eau, Sa vie.
Merci mon Père, Eternel, D.ieu d'IsraEl, qui vient bientôt nous délivrer.
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Published by Michael & Ola - dans Tora - Peuple et Terre d'IsraEl